
Les unités canines de la police disposent aussi de chiens pisteurs : indispensables pour les enquêtes sur des disparitions inquiétantes, des personnes en fuite… Tout comme des chiens drogues, dits passifs ou actifs, qui utilisent des méthodes de marquage différentes pour alerter leur maître. Sans oublier les chiens « restes humains » à la recherche des personnes décédées et des traces de sang, les chiens détecteurs de foyers d’incendie et les chiens explosifs dont le nom ne laisse aucun doute sur leurs missions.
Et si « la race n’a aucune importance», comme le souligne le commissaire divisionnaire de police Rony Vandael à la direction de l’appui canin, « leur formation est déterminante puisqu’on testera les réflexes des chiens et aussi la manière dont ils se familiarisent avec leur maître. Sans une confiance mutuelle, les deux ne peuvent travailler efficacement. »